La chaîne de télévision TF1 nous a fait l’honneur de consacrer un reportage à la société Rivalin et à ses produits, qui a été diffusé dans son journal télévisé du 11 février 2021.
On y découvre la fierté et la passion qui anime notre équipe, et le désir de perpétuer cette tradition 100% française bien franchouillarde : la charentaise !
“Mon grand-père et mon arrière-grand-père fabriquaient déjà des charentaises. Moi, je suis la quatrième génération d’une famille de pantouflards ! Mon arrière-grand-père aussi ont touché ces outils-là. Ces outils datent des années 50, des années 60”, explique Vincent Rivalin, qui a repris les rênes de l’atelier des mains de ses parents.
Stéphane, qui coupe les semelles, montre la différence entre les deux types de semelles des charentaises (feutre ou crêpe) et conclut en disant qu’il aime ce qu’il fait : “Je suis fier, moi ! Moi qui étais fonctionnaire à la mairie de Paris, ça me change !”
Amandine, l’une des couturières, rappelle que la couture a toujours été sa vocation : “Moi, j’ai toujours adoré mon métier. J’ai toujours voulu faire de la couture et j’en fais depuis que je suis toute petite. Je ne me vois vraiment pas faire autre chose, en fait !”.
Marie-Claire, la doyenne de l’atelier, partage son enthousiasme, tout en soulignant son ancienneté dans la maison : “J’ai connu les parents de Vincent. J’ai connu le grand-père de Vincent, j’ai commencé avec le grand-père de Vincent. Au bout de 38 années, quand même, 39 ans bientôt, je pense que je les fais presque les yeux fermés ! Je me dis quelquefois que quelque part, quelqu’un porte des chaussons que j’ai fabriqués, que j’ai montés, et cela me rend un peu fière !”
Quant à Katia, au conditionnement, elle évoque le prochain centenaire de l’atelier de charentaises Rivalin : “On va bientôt fêter les 100 ans de l’entreprise, alors oui, c’est important de faire durer ça. Je suis très fière de contribuer à écrire cette histoire familiale”.
Si vous avez raté ce grand moment de télévision, ou si vous souhaitez en savoir plus sur la fabrication de vos chaussons artisanaux préférés, nous vous proposons de (re)découvrir ce reportage.
Bon visionnage !