Notre histoire

Notre histoire débute en 1925, à l’époque nous fabriquions exclusivement des galoches.

Plongez dans l’histoire de notre entreprise et découvrez comment notre savoir-faire a survécu et évolué au cours des cent dernières années.

Il s’agit de l’histoire d’un atelier en Bretagne spécialisé dans la fabrication de “charentaises” et de sabots. Autrefois appelé “L’Usine” et auparavant connu sous le nom “Aux Armes de Bretagne”, voici notre parcours jusqu’à ce jour, illustré par des récits et des photographies mettant en avant les hommes et les femmes qui travaillent avec passion pour créer des objets d’une beauté remarquable et pour votre confort.

1925

1925

Emile Tréhout fonde son usine

Émile Tréhout arrive du Nord de la France. Il s’associe avec son voisin et créé une fabrique de galoches (semelle en bois, dessus cuir), une chaussure très robuste très appréciée alors en Bretagne. L’entreprise est nommée « Aux armes de Bretagne » et est aménagée rue Saint-Marc, dans le quartier de l’actuel Théâtre de Cornouaille à Quimper. Ils vont vite ajouter la fabrication de la Socque, une galoche ouverte dans laquelle on glisse une charentaise, et des sabots traditionnels. Émile devient majoritaire. L’entreprise s’est bien développée, et compte 70 salariés.

Emile Tréhout, fondateur de l'entreprise Rivalin en 1925

Emile Tréhout ici à gauche avec son petit-fils Gérard

Paul Rivalin, gendre d’Emile Tréhout, reprend l’usine.

Émile Tréhout a eu une fille unique, Marie-Renée. Cette dernière épouse le Quimperlois Paul Rivalin, tailleur de métier.

Paul va reprendre l’affaire en diversifiant la production. Il continue la galoche, et va créer des chaussures pour pieds sensibles, des chaussures médicales, et des mocassins bateau et les sabots suédois. Entre 1975 et 1985, le sabot suédois est très demandé, l’affaire fonctionne.

Dans les années 1970, Paul rachète l’entreprise Montserrat qui fabrique des charentaises à deux pas de son usine. Une excellente idée !

1960

1960

1984

1984

Gérard Rivalin, fils de Paul, pour un nouveau départ

Gérard Rivalin commence dans l’entreprise comme attaché commercial. La société emploie alors 49 salariés.

En 1981, Paul Rivalin part à la retraite et Gérard, sur un quitte ou double, décide de continuer et de pérenniser l’affaire sans clients, mais avec du personnel formé. En 1986, l’entreprise s’installe impasse Le Noac’h et Gérard en est le commercial principal. Un gros client, puis deux, puis 114 magasins d’une enseigne suivent.

Durant ces années, il développe la production de charentaises avec Christine, son épouse, qui imagine les collections en suivant les tendances : “Nous n’avons pas cherché à grandir à tout prix. Notre force est d’être restés une entreprise familiale.”

Aujourdh’hui

Vincent Rivalin, fils de Gérard Rivalin, perpétue la tradition familiale en reprenant l’atelier. Sous sa direction, la marque réinterprète la célèbre charentaise tout en créant des chaussons qui allient l’expertise de la technique artisanale du cousu retourné et l’utilisation de matières nobles. Les modèles qu’il propose représentent un héritage intemporel et offrent un confort qui résiste au passage du temps avec élégance. Il redynamise l’entreprise en améliorant les conditions de travail :  Découvrez comment nos Charentaises sont fabriquées aujourd’hui.

Les chaussons de Vincent Rivalin sont appréciés en France et dans le monde entier, y compris au Japon, où ils trouvent une clientèle fidèle. La renommée de la marque s’étend au-delà des frontières grâce à la qualité et au style de leurs produits.

Nous sommes labellisés “Produit en Bretagne” ainsi que “Entreprise du patrimoine vivant” par le ministère de l’artisanat, du commerce et du tourisme.

En 2012, Vincent Rivalin a été élu président de la relocalisation via le label “Produit en Bretagne”. Il s’est également vu décerner le prix du public des “Trésors vivants de l’artisanat”.

2018

2018

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Découvrez comment nous fabriquons nos charentaises

La qualité de nos sabots vient de notre savoir-faire.